A quelques belles exceptions près, comme 50 ans de dépendance (Smockey) ou encore La France en chansons vue d'Afrique -, les contributions sont encore majoritairement centrées sur l'Hexagone. Il semble que les animations écrites (sur la liste, le site et le réseau social) et les contributions orales lors des rencontres à Bamako, Dakar et Marseille, ont touchées des publics différents (voir 5.3.1 Oral ou écrit : comment échanger entre nous ? page 67). La contribution de Dominique du Sénégal illustre bien la vision de la chanson française depuis l’Afrique :
A l'âge où les premières flèches du dieu Cupidon transperçaient nos petits coeurs d'adolescents, c'était la musique française qui apaisait nos nouvelles blessures innocentes. Et, Mireille Mathieu avec « on ne vit pas sans se dire adieu », à côté de Nana Mouskouri « Adieu Angeline » et autres, faisait partie de nos chansons préférées. D'ailleurs, les plus « atteints » parmi nous, surnommés sympathiquement « les petits français », étaient persuadés que ce genre musical aidait à surmonter la distance, le temps et les divers obstacles.
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